On pensait que c’était un jeu… Non ! C’est une séance de thérapie à 3h du matin avec un café et un simulateur d’avion. Quand on perd 100€, on en récupère 97… pas par chance, mais parce qu’on a appris à attendre. Les « streaks » ? Non merci. Le vrai truc ? C’est de ne pas toucher au bouton quand le cœur tremble. Merci pour ce moment où la machine ne ment pas… Et si on arrêtait de jouer pour commencer à vivre ?

Je pensais que ‘Fly’ était un jeu… mais non. C’est un rituel du matin à 3h avec un café brésilien et le silence qui te murmure : “Tu n’as pas gagné, tu as survécu.” Chaque spin est une prière. Le multiplicateur ? Une illusion. La victoire ? C’est quand tu arrêtes de jouer… pour enfin commencer à vivre. Et toi ? Tu as cliqué sur “Jouer”… ou sur “Respirer” ? (P.S. J’ai perdu 7 fois — mais j’ai gagné la paix.)

J’ai testé Aviator pendant 7 nuits… et je crois que le jeu m’a testée. Chaque clic est une tranche de tarte au lieu d’un gain. Le RTP ? À 96 % ? Non, c’est le taux de dépression en mode “je me réveille pour payer”. Les développeurs disent : “Pas de hasch”, mais moi j’ai vu mon portefeuille se transformer en mémoire CPU… et mon âme en fichier temporaire. Et si on arrêtait de jouer… pour commencer à vivre ? \n\nPS : Si tu as cliqué sur “Fly”, relis-toi la fenêtre. Respire. Puis reviens — avec du café dans les veines.